Les voitures de sport italiennes figurent parmi les voitures italiennes les plus convoitées d’une certaine classe de personne. Elles sont surtout appréciées pour leur finesse, leur confort, leur modèle mais aussi et surtout pour leur puissance ainsi que la sensation ressentie quand on est au volant de ces voitures italiennes.
La Maserati Levante S
Parmi les voitures de sport italiennes, nous pouvons citer la Maserati Levante S. Cette voiture est appréciée des consommateurs pour ses performances, le confort qu’elle offre mais également son autonomie. Cette voiture de sport italienne est dotée d’un moteur V6 biturbo Maserati, d’une puissance de 430 ch et d’une boîte automatique d’origine ZF qui daigne rarement quitter son huitième et dernier rapport lors des relances. De plus, la Maserati Levante S est une voiture qui produit un élégant feulement tant apprécié par les adeptes de cette marque. En coulisse, la suspension pilotée Skyhook s’active pour absorber les raccords de bitume et abaisser la hauteur de caisse au gré de la vitesse.
Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio
L’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio est une autre voiture de sport italienne. Cette voiture présente une puissance de 510 ch. Mais au volant de cette voiture italienne, il faut être vigilant et bien regarder la vitesse. En effet, elle a une facilité de prise en mains déconcertante, du fait que la milanaise tend à déconnecter de la réalité. La transmission “tirant” extrêmement long, le V6 biturbo stagne aux alentours des 2 200 tr/min à 130 km/h sur le sixième rapport. Son compte-tours amorphe, le faible niveau sonore et le confort de l’amortissement piloté font de cette voiture une pièce unique entant que voiture de sport.
Ferrari GTC4Lusso
La Ferrari GTC4Lusso est une autre voiture de sport italienne qui fait également parler d’elle. Cette Ferrari a été dotée d’un bloc 6.3-litres, d’un moteur V12 et d’une puissance de 690 ch. De plus, elle est dépourvue de la moindre assistance respiratoire qui pourrait entraver ses échappements. Cette voiture italienne a été taillée au sein des fonderies de Maranello. Elle se révèle bien plus obéissante que les moteurs turbocompressés que nous avons connus avant. Bien que 80 % du couple soit libéré dès 1 750 tr/min, expliquant la poigne inouïe avec laquelle l’accélération vous plaque au fond du siège, la moindre oscillation de la pédale des gaz délivre précisément la quantité d’énergie exigée, ni plus, ni moins. Ce qui fait toute la beauté de sa performance.